lundi 2 janvier 2017
A la tête de la CFDT, François Chérèque restera l’homme qui a accepté d’augmenter le nombre de trimestres cotisés pour partir en retraite pleine de 37,5 à 43 annuités en 2003 ; puis qui qui accepte de passer en 2010 de 60 à 62 ans l’âge légal du départ en retraite.
Ces trahisons en pleines grèves massives provoqueront des dizaines de milliers de départ de la CFDT vers Solidaires, la CGT et la FSU dans une moindre mesure.
Lui qui défendait l’argument de l’allongement de la durée de vie en bonne santé pour justifier de sa politique, toujours prêt à se sacrifier pour sauver les comptes de la Sécu, il nous quitte prématurément avant de puiser lui-même dans les caisses de retraites. Merci pour cette ultime élégance !
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