mercredi 29 juillet 2015
Nous publions ci-joint un communiqué de la PGFTU-Bande de Gaza.
La Fédération Générale Palestinienne des Syndicats (PGFTU : Palestinian General Federation of Trade Unions) – Bande de Gaza réaffirme son “soutien inébranlable” à BDS et au boycott de la Histadrout.
Dimanche, 19 Juillet 2015 01:43
Palestine occupée, 15 juillet 2015 – A l’occasion du 10ème anniversaire du mouvement Boycott Désinvestissement Sanctions (BDS), la Fédération Générale Palestinienne des Syndicats – Bande de Gaza a renouvelé son “soutien inébranlable” au mouvement BDS contre Israël jusqu’à ce qu’il se plie aux obligations du droit international et reconnaisse le droit inaliénable du peuple palestinien à son auto-détermination.
Dans le document, signé par 15 syndicats de Gaza assiégée, les syndicalistes palestiniens réaffirment leur rejet de toute forme de normalisation avec l’état israélien et ses institutions, comme défini par le Comité National Palestinien de BDS (BNC : BDS National Committee).
La PGFTU – Bande de Gaza appelle également au niveau international les syndicats à boycotter la Histadrout, principal syndicat en Israël, en raison de sa “complicité flagrante avec les politiques d’Israël, y compris l’occupation, l’établissement de colonies, l’apartheid et [le vol] des droits des travailleurs palestiniens”.
Le BNC accueille chaleureusement le document produit par la PGFTU et d’autres syndicats de Gaza, le considérant comme une étape importante vers l’intensification, au sein du mouvement syndical international, des campagnes BDS contre Israël jusqu’à ce qu’il se conforme au droit international et au respect des droits des Palestiniens.
Le BNC, qui représente la plus large coalition de la société civile palestinienne et qui conduit le mouvement BDS mondial, renouvelle son appel au mouvement syndicaliste international d’appuyer BDS comme la forme la plus efficace de solidarité avec le peuple palestinien dans notre lutte pour mettre fin au régime d’occupation, de colonisation et d’apartheid imposé par Israël.
La CGT, qui entretient des relations avec la PGFTU, doit rejoindre nationalement le collectif BDS France comme différentes structures l’ont déjà fait.