En réponse à :
Le 1° janvier 1949 dans l’Humanité Benoit Frachon, secrétaire général de la CGT, ancien anarcho-syndicaliste passé au stalinisme, s’attaque très correctement aux « portes-serviettes », cette bureaucratie de base qui se constitue alors grâce aux droits nouveaux gagnés dans les entreprises. On lit toute la compréhension et la sensibilité du vieux militant. Mais on remarquera qu’il passe sous silence la bureaucratie de l’appareil syndical. Comme s’il n’ y avait pas de lien entre l’existence de bureaucrates (...)